Moi, lui, lui et moi, nous https://journaldunequarantenaire.journalintime.com/ Ce nouveau journal pour entamer par écrit un nouveau récit. Un récit entre moi et moi pour parler de lui, de moi, de lui et moi, de nous...un nouveau journal pour la quarantenaire que je suis, qui vit une histoire d'amour. Tout au long des écrits, mes états d'âmes, mes réflexions, mes introspections ou comment je vis émotionnellement cette histoire.. fr 2023-02-05T16:54:21+01:00 https://journaldunequarantenaire.journalintime.com/Adieu Adieu... Si Je me suis si vite attachée à la personne que tu étais, C'est parce qu'en toi, je percevais tout ce qu'aucune autre personne ne voyait... Une armure tu avais érigée pour pouvoir te protéger... De tout ce qui aurait pu t'arriver... Derrière cette armure, un coeur pur s'y cachait, Par l'abandon il avait été blessé Il me fallait alors le réparer Et tout faire pour enfin te libérer Contre cette armure je m'y suis souvent cognée Mais jamais je n'ai voulu la briser Beaucoup d'amour s'est alors créée Avec le temps, il s'est amplifié Aujourd'hui, cet amour je me dois d'en parler Si Je me suis si vite attachée à la personne que tu étais,
C’est parce qu’en toi, je percevais tout ce qu’aucune autre personne ne voyait...
Une armure tu avais érigée pour pouvoir te protéger...
De tout ce qui aurait pu t’arriver...
Derrière cette armure, un coeur pur s’y cachait,
Par l’abandon il avait été blessé
Il me fallait alors le réparer
Et tout faire pour enfin te libérer
Contre cette armure je m’y suis souvent cognée
Mais jamais je n’ai voulu la briser
Beaucoup d’amour s’est alors créée
Avec le temps, il s’est amplifié
Aujourd’hui, cet amour je me dois d’en parler
Pour faire entendre qu’il a existé
Et que jamais il ne doit s’arrêter
Même après ce moment où nous allons être séparés
Tu as choisi de me quitter pour pouvoir te libérer
De la maladie qui t’envahissait
Au point de ne plus savoir la supporter
Chaque jour était devenue une lutte pour ne pas sombrer
Chaque heure un défi à relever
Chaque minute un instant trop long où tu souffrais
Aucune autre issue, selon toi, ne pouvait être envisagée
Tant le temps était déjà arrêté
Tu croiras peut être que jamais je ne te pardonnerai
Mais comment à vivre puis-je continuer ?
Si ce n’est qu’en acceptant ce que tu espérais
La paix, la sérénité...
Aujourd’hui, il semblerait que tu les ais trouvées
Alors, pour ce dernier voyage, seul, je te laisse t’en aller
Vers tes îles Baléares que tu chérissais..
En chacun de tes mixs, au tempo de 120 battements par minute, ton cœur continue de vibrer
Et ainsi en moi, tout ton amour, je garderai…
Je ne t’oublierai jamais..
Je t’aime tellement ❤️❤️

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2023-02-05T16:54:21+01:00
https://journaldunequarantenaire.journalintime.com/Comme-un-appel-a-la-vie-a-l-envie-de-VIVRE Comme un appel à la vie, à l'envie de VIVRE Il le faut, il faut vraiment que je passe par l’écriture, parce que cet instant est vital ! Que je prenne ce temps pour moi, que je me recentre sur moi, que j’évacue toute cette souffrance que je ressens en te voyant chaque jour depuis mardi sur ton lit d’hôpital. Cette souffrance qui a pris tellement de place dans ta tête, dans ton cœur, qu’il n’en existait plus d’autre pour le bonheur, la sérénité, l’amour… Je n’ai pas su faire face, j’ai essayé de t’apporter tout l’amour que j’ai mais cela ne suffisait…Je ne veux pas me reprocher de ne pas avoir été Il le faut, il faut vraiment que je passe par l’écriture, parce que cet instant est vital ! Que je prenne ce temps pour moi, que je me recentre sur moi, que j’évacue toute cette souffrance que je ressens en te voyant chaque jour depuis mardi sur ton lit d’hôpital.
Cette souffrance qui a pris tellement de place dans ta tête, dans ton cœur, qu’il n’en existait plus d’autre pour le bonheur, la sérénité, l’amour…

Je n’ai pas su faire face, j’ai essayé de t’apporter tout l’amour que j’ai mais cela ne suffisait…Je ne veux pas me reprocher de ne pas avoir été à la hauteur, j’ai fait ce que j’ai pu avec ce que j’avais, tout comme toi…
Un sentiment d’être démuni, impuissant face à cette maladie si brutale, tu as choisi une manière tout aussi brutale d’y mettre fin…
Nous n’y étions pas préparés, même si au fond de moi, je ne t’ai jamais senti totalement épanoui, même si je ressentais que ta carapace te protégeait et qu’un jour elle aurait pu te lâcher.
Et là en quelques temps, elle aurait pu se fissurer petit à petit, elle a préféré violemment éclater en mille morceaux…
J’ai peur de ne pas avoir la force nécessaire pour continuer à être là pour toi, à te rassurer encore et encore, à t’épauler au quotidien, à te donner tout le bonheur et l’amour que tu mérites…
Je veux me battre à tes côtés mais je ne veux pas y laisser ma personne, je ne veux pas me perdre dans ta détresse et finir par sombrer…
Je veux te relever, t’aider à tenir debout le temps qu’il faudra, mais surtout je veux que tu veuilles t’en sortir , VIVRE !!
Je n’ai qu’un but c’est te voir sourire, te voir rire, te voir épanoui, HEUREUX.
Heureux et libre de tes peurs, tes angoisses, libre d’être celui que tu aurais dû être depuis toujours et plus ce petit garçon apeuré, abandonné qui attend qu’on vienne le sauver…

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2023-02-05T16:47:25+01:00
https://journaldunequarantenaire.journalintime.com/A-vous-Messieurs-que-jaime A vous Messieurs que j’aime, A vous deux, mes amours, mes deux Sébastien, A toi Doudou, pour qui j’ai mis de côté des désirs, des envies, pour continuer à vivre à tes côtés, simplement parce que tu le méritais, justement parce que je t’avais élu comme celui dont je ne pouvais laisser sur le bas-côté. J’ai sacrifié une partie de mon être pour correspondre à tes attentes, pour coller à l’image de celle que tu idéalisais, celle qui aurait tout fait pour t’accepter tel que tu étais… J’ai été celle-ci parce que j’en avais l’envie, et surtout par amour pour toi…j’ai appris à te A vous deux, mes amours, mes deux Sébastien,
A toi Doudou, pour qui j’ai mis de côté des désirs, des envies, pour continuer à vivre à tes côtés, simplement parce que tu le méritais, justement parce que je t’avais élu comme celui dont je ne pouvais laisser sur le bas-côté. J’ai sacrifié une partie de mon être pour correspondre à tes attentes, pour coller à l’image de celle que tu idéalisais, celle qui aurait tout fait pour t’accepter tel que tu étais…

J’ai été celle-ci parce que j’en avais l’envie, et surtout par amour pour toi…j’ai appris à te connaître, à te comprendre et de ce fait à te chérir à parfois en souffrir…mais sans jamais regretter, sans jamais défaillir, jusqu’à ce que tu décides d’en finir. En finir avec ta propre vie, car tu n’en étais plus maître, la souffrance, la maladie avaient pris le dessus et mon être n’a pas suffit à t’en remettre. Tu as fait le choix de disparaître, de quitter ce monde que tu trouvais de plus en plus cruel, de plus en plus injuste, de plus en plus anxiogène car tu savais que tu n’as jamais eu et que tu n’aurais jamais eu la force de lutter contre toutes tes peurs qui t’habitaient.
J’ai dû, pour ma survie, accepter, non sans mal, ta décision mais saches que chaque jour sans toi est un défi, celui de me convaincre que tout ce que j’ai pu donner de moi ait pu te rendre heureux, que les jours, les mois, les années, qui suivront ton départ, me seront aussi source d’un bonheur retrouvé, dans la sérénité et surtout avec l’espoir d’être totalement comblée où je ne devrai plus jamais attendre…

A toi Seb, dont je n’ai jamais su renoncer, avec qui je ressens tellement ce sentiment d’exister, de vibrer…A toi dont, tes mails se font tant attendre, tout autant, sinon, plus, nos retrouvailles avec une impatience, une hâte difficilement contrôlable. A toi dont j’ai accepté de te partager avec celle dont tu avais choisi de faire ta vie, à toi que je ne protège en ne m’imposant pas, en restant le plus discrète possible, à toi dont j’accepte de me contenter que de quelques heures par mois pour être dans ta lumière et de me retrouver dans l’ombre le reste du temps.
A toi dont j’accepte, par amour, ta décision, celle de ne pouvoir m’offrir plus.
A toi Seb qui m’a fait aussi parfois souffrir en prenant la fuite quand cela devenait trop difficile pour toi…
A vous les deux hommes que j’aime, à vous pour qui j’ai tant attendu, pour qui j’attends encore, juste par amour…

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2023-02-05T16:42:28+01:00
https://journaldunequarantenaire.journalintime.com/Ceci-peut-paraitre-normal « Ceci peut paraître normal » Elle tente d’accomplir au mieux chaque jour son travail, elle prend sur elle, telle une éponge, les émotions des autres. Parfois, elle y arrive et savoure l’instant où elle a pu se sentir utile. D’autres fois, elle se sent démunie et doute de ses capacités. Elle garde l’espoir d’améliorer un tant soit peu, la vie des autres, même si cela peut paraître une utopie. Mais pour elle, ceci est normal, elle l’a choisit. Elle tente de répondre aux besoins de sa famille avant les siens. Elle se montre patiente, attentive, sensible à leur bien être. Elle sait qu’ils attendent Elle tente d’accomplir au mieux chaque jour son travail, elle prend sur elle, telle une éponge, les émotions des autres. Parfois, elle y arrive et savoure l’instant où elle a pu se sentir utile. D’autres fois, elle se sent démunie et doute de ses capacités. Elle garde l’espoir d’améliorer un tant soit peu, la vie des autres, même si cela peut paraître une utopie. Mais pour elle, ceci est normal, elle l’a choisit.

Elle tente de répondre aux besoins de sa famille avant les siens. Elle se montre patiente, attentive, sensible à leur bien être. Elle sait qu’ils attendent beaucoup d’elle, qu’elle soit toujours celle sur qui ils peuvent compter. Elle tend à leurs inculquer le respect et le goût de la vie. Mais pour elle, ceci est normal, elle l’a aussi choisit.

Elle tente de se montrer aimante, aimable, amoureuse, désirable aux yeux de celui qu’elle aime. Elle sait que c’est un défi de chaque jour, mais il en vaut la peine. Mais pour elle, ceci est normal, elle l’a encore choisit.

Tout ce qu’elle a choisit de vivre est normal, car elle aime. Mais ce qui est normal pour elle, ne doit pas tomber dans une normalité auprès de ce qui l’entoure. La regarder et constater que parfois, elle peut se montrer fatiguée, découragée, soucieuse par tout le poids de ce qu’elle veut bien porter. Parce qu’elle ne sait faire et être autrement, elle aimerait que parfois, on puisse se rendre compte de ses besoins, de ses désirs et qu’on y réponde sans qu’elle n’ait la nécessité de le dire. Elle se croit forte, elle veut l’être, elle essaie de s’en donner les moyens, c’est une mission pour elle mais qu’elle ne peut accomplir sans leurs soutiens.

N’aimez, pas seulement, une personne pour ce qu’elle fait pour vous, cela ne serait que de l’intérêt, aimez la surtout parce qu’elle le mérite. L’élan d’amour est un mouvement qui se tourne vers l’extérieur et non pas vers l’intérieur.

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2016-11-30T08:54:49+01:00
https://journaldunequarantenaire.journalintime.com/La-Donneuse La Donneuse Voilà comment je me vois, telle une donneuse. Me perçoit-on réellement comme cela ? J’ai cette impression de n’être plus qu’une machine à donner, donner de mon temps, donner de ma personne, de par mon écoute, ma disponibilité, de par mon empathie. Je n’ai, pourtant, parfois pas toujours envie, mais je ne sais faire autrement. Lorsque quelqu’un de mon entourage se présente à moi je ne vois que lui et ce dont je pourrais faire pour lui et je m’oublie… Je ne suis plus qu’une machine à faire, à faire plaisir, à rendre service, à soulager, à porter toutes les misères, Voilà comment je me vois, telle une donneuse. Me perçoit-on réellement comme cela ? J’ai cette impression de n’être plus qu’une machine à donner, donner de mon temps, donner de ma personne, de par mon écoute, ma disponibilité, de par mon empathie. Je n’ai, pourtant, parfois pas toujours envie, mais je ne sais faire autrement. Lorsque quelqu’un de mon entourage se présente à moi je ne vois que lui et ce dont je pourrais faire pour lui et je m’oublie…
Je ne suis plus qu’une machine à faire, à faire plaisir, à rendre service, à soulager, à porter toutes les misères, tous les soucis de la terre entière. Tout le monde se tourne vers moi comme si j’étais la solution, comme si je pouvais tout. Je les laisse penser cela malgré moi, alors que c’est faux. Je ne sais juste pas dire « non ». Alors pourquoi n’y arrive-je pas ? Peut être la crainte de déplaire, de décevoir, la crainte de lire en l’autre des sentiments négatifs envers moi, comme si on ne m’aimerait pas si je n’étais pas comme cela.

Je me dis souvent que si je ne le fais pas qui le fera ? Je sais que quelque part je me sacrifie pour ceux qui n’y arrivent pas. Je pense à tout ceux qui n’ont pas eu la chance, un jour, d’être entendu dans leur souffrance, tout comme je l’ai été dans mon enfance. Alors je suis cette oreille que j’aurai tant aimé trouver. Cette oreille qui se penche sur moi, pour entendre et comprendre et me soutenir. J’ai grandi en pensant que je ne devais pas déranger, ennuyer mes proches, pour ne pas les contrarier. J’ai grandi en pensant que mes soucis, mes inquiétudes d’enfant, d’adolescente, de femme puis de mère, je ne devais les résoudre que par moi-même, que je devais prendre sur moi, que je devais refouler en moi mes peurs, ma colère, ma tristesse.

Aujourd’hui, j’aimerai me libérer de tout ce que j’ai porté en moi, les peurs de ma mère, la souffrance du père de mes enfants, le malheur des enfants que j’accompagne au quotidien dans mon métier, les craintes de celui que j’aime. Aujourd’hui, j’aimerai retrouver ma confiance, ma force en l’avenir, et ne plus me laisser envahir de tous les maux des autres…

Oser leur dire « non » quand je sens ma limite atteinte, quand je sens que la personne à qui je dois penser d’abord c’est moi. Et ne plus craindre de ne pas être aimé, de demander, d’oser faire appel à quelqu’un quand je me sens en difficulté.
Le fond de mon problème est bien là, me permettre de demander, me permettre de renoncer à ce qui m’est demandé.

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2016-11-30T08:44:38+01:00
https://journaldunequarantenaire.journalintime.com/Apres-un-mois Après un mois Voilà comment je me sens après avoir passé une nuit avec lui ! Le nouveau Sébastien ne semble pas être à la hauteur de mes attentes, pas à la hauteur de ce que je suis capable de lui donner. Il a du mal à s’ouvrir, et je n’ai pas non plus envie de forcer la porte, je ne sens pas ce sentiment intense qui me fait exister, il ne me renvoit qu’une amitié. Nous devons être deux âmes en peine qui ne sont trouvés que pour combler du temps, donner l’impression que quelqu’un pense à nous.....mais il manque l’essentiel ! Le "souci" étant maintenant de savoir vers qui me Voilà comment je me sens après avoir passé une nuit avec lui ! Le nouveau Sébastien ne semble pas être à la hauteur de mes attentes, pas à la hauteur de ce que je suis capable de lui donner. Il a du mal à s’ouvrir, et je n’ai pas non plus envie de forcer la porte, je ne sens pas ce sentiment intense qui me fait exister, il ne me renvoit qu’une amitié. Nous devons être deux âmes en peine qui ne sont trouvés que pour combler du temps, donner l’impression que quelqu’un pense à nous.....mais il manque l’essentiel !

Le "souci" étant maintenant de savoir vers qui me tourner pour trouver cet essentiel.....celui qui ne refusera pas ce que j’ai à lui donner, ce trop plein d’amour que je ne sais toujours contenir, celui qui saura recevoir et s’élever à mes côtés et me faire sentir que j’existe et que je lui suis utile !

09/02/2010

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2016-02-16T14:34:19+01:00
https://journaldunequarantenaire.journalintime.com/Si-seulement Si seulement Si seulement tu me laissais ouvrir les bras, ouvrir les bras pour accueillir ce que tu n’oses recevoir. Comment t’ouvrir à ce qui te fait si peur ? comment t’offrir le meilleur de moi si tu ne me permet pas ? Tu ne me permet pas d’explorer tout ce qu’il y a en moi et qui pourtant est là .Tu ne me permet pas d’être totalement moi, car tu n’es pas totalement toi. Ta réserve, tout ce que tu caches en toi, tout ce que j’arrive à percevoir, ne demande qu’à être révélé, pourvu que tu t’abandonnes… L’abandon de soi n’est pas se perdre dans l’autre, c’est Si seulement tu me laissais ouvrir les bras, ouvrir les bras pour accueillir ce que tu n’oses recevoir. Comment t’ouvrir à ce qui te fait si peur ? comment t’offrir le meilleur de moi si tu ne me permet pas ?
Tu ne me permet pas d’explorer tout ce qu’il y a en moi et qui pourtant est là .Tu ne me permet pas d’être totalement moi, car tu n’es pas totalement toi.
Ta réserve, tout ce que tu caches en toi, tout ce que j’arrive à percevoir, ne demande qu’à être révélé, pourvu que tu t’abandonnes…
L’abandon de soi n’est pas se perdre dans l’autre, c’est trouver en l’autre une part de soi ignorée. Ne pas la craindre, mais l’exploiter. Pour ma part, je ne peux l’ignorer tant je la sens transpirer.
J’aimerai tant m’y envivrer mais je ne peux t’y forcer. Je laisse le temps au temps de te permettre, de lâcher prise sur tout ce que tu t’interdis, tout ce qui m’est impossible de partager.
Je sens, je ressens les limites de tes possibles, les limites de l’indicible et je m’y cogne parfois sans comprendre pourquoi…pourquoi tant de barrières pour te protéger, et autant à franchir pour te délivrer ?
Se livrer pour se délivrer, et ainsi libérer ces émotions cachées, entérinées.
Aurai-je le temps, l’énergie, l’envie, le désir nécessaire à cette délivrance ?

Si seulement tu me le permet……

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2016-02-16T14:30:41+01:00
https://journaldunequarantenaire.journalintime.com/Celle-qui Celle qui... Oui ce n’est pas toujours facile, mais sais-tu vraiment pourquoi ? Tu as cette crainte qu’un jour je ne t’aime plus, moi j’ai peur de ne plus être à la hauteur de ce que devrait être la femme idéale pour toi. Cette femme qui aura toujours la force d’accepter d’être aimé si différemment, comme elle ne l’avait jamais connu. Celle qui saura attendre pour recevoir une attention, Celle qui acceptera tes envies de solitude Celle qui te respectera dans ton intimité Celle qui saura être à l’écoute à tout moment, de tes angoisses, de tes joies, Celle qui fera passer tes Oui ce n’est pas toujours facile, mais sais-tu vraiment pourquoi ?
Tu as cette crainte qu’un jour je ne t’aime plus, moi j’ai peur de ne plus être à la hauteur de ce que devrait être la femme idéale pour toi.
Cette femme qui aura toujours la force d’accepter d’être aimé si différemment, comme elle ne l’avait jamais connu.
Celle qui saura attendre pour recevoir une attention,
Celle qui acceptera tes envies de solitude
Celle qui te respectera dans ton intimité
Celle qui saura être à l’écoute à tout moment, de tes angoisses, de tes joies,
Celle qui fera passer tes besoins avant les siens,
Celle qui acceptera de n’être touchée que pendant un acte sexuel, de ne plus être embrassée langoureusement,
Celle qui saura vivre le désir différemment
Celle qui acceptera ta carapace qui t’empêche de lâcher prise et de vivre pleinement le moment présent.
Celle qui aura une patience infinie pour continuer à aimer cet homme que tu es
Avec toutes ses faiblesses, ses incapacités à donner toute sa tendresse dans la spontanéité, sans crainte de ne plus être aimé
Celle qui acceptera de te voir aussi tendre avec ta fille
Celle qui aimera ta fille comme si c’était la sienne
Celle qui saura te soulager de toutes tes souffrances passées
Celle qui croira toujours que tu vaux la peine d’être aimé
Oui j’ai peur de ne pas y arriver
Même si je t’ai accepté comme tu étais
Même si mon amour pour toi est entier
Je me sens parfois dépourvue et dépassée
Face à ta particularité
Chaque jour, je me donne une chance pour y parvenir
Il y a des jours où je me sens faiblir
Il y a des jours où je redoute de ne plus savoir m’épanouir
Il y a des jours où je sens l’espoir revenir
Suis-je réellement cette femme ?

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2016-02-16T14:27:32+01:00
https://journaldunequarantenaire.journalintime.com/A-toi A toi A toi, le petit garçon, qui a toujours cru qu’on ne pouvait longtemps s’attacher à lui. A toi, le petit garçon, qui imagine encore peut être qu’il n’est pas digne d’être aimé pour ce qu’il est. A toi, le petit garçon, qui a, à plusieurs reprises, souffert d’être abandonné. A toi, le petit garçon, qui croit savoir vivre seul. A toi, le petit garçon, qui a grandi sans être enveloppé. A toi, le petit garçon, qui pense ne pas avoir été désiré. A toi, le petit garçon, qui n’a pas complètement confiance en lui. A toi, le petit garçon, qui a peur de l’avenir. A toi, le petit garçon, qui a toujours cru qu’on ne pouvait longtemps s’attacher à lui.
A toi, le petit garçon, qui imagine encore peut être qu’il n’est pas digne d’être aimé pour ce qu’il est.
A toi, le petit garçon, qui a, à plusieurs reprises, souffert d’être abandonné.
A toi, le petit garçon, qui croit savoir vivre seul.
A toi, le petit garçon, qui a grandi sans être enveloppé.
A toi, le petit garçon, qui pense ne pas avoir été désiré.
A toi, le petit garçon, qui n’a pas complètement confiance en lui.
A toi, le petit garçon, qui a peur de l’avenir.
A toi le petit garçon, qui reste nostalgique de sa vie.
A toi, le petit garçon, qui rit encore de ses âneries.
A toi, le petit garçon, qui craint ce qu’on peut penser de lui.
A toi, le petit garçon, qui a peur de ne pas s’en sortir.
A toi, le petit garçon, qui fait tout pour ne pas en arriver au pire.
A toi, le petit garçon, qu’il a fallut adopter.
A toi, le petit garçon, que je n’ai pas voulu laisser sur le bas côté.
A toi, le petit garçon que j’ai fini par aimer.
A toi, le petit garçon, qui me fait tant rigoler.
A toi, le petit garçon qui me fait parfois pleurer.
A toi, le petit garçon, que j’ai envie de protéger.
A toi, le petit garçon, qu’il me faut écouter.
A toi, le petit garçon, si fragile, si sensible.
A toi, le petit garçon, qui se réfugie derrière son armure invincible.
A toi, le petit garçon, qui a besoin d’être bercé par un océan de musique.
A toi, le petit garçon, qui parfois s’enivre pour lâcher prise.
A toi, le petit garçon, à qui j’aime sourire.
A toi, le petit garçon, à qui j’aime faire plaisir.
A toi, à ce petit Sébastien, qui avait tant besoin qu’on lui tende la main…

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2016-02-16T14:26:27+01:00
https://journaldunequarantenaire.journalintime.com/Celui-que-j-attendais Celui que j'attendais... Tu n’es peut être pas celui que j’attendais, savais-je réellement ce que je voulais. Je me suis juste laisser emporter par l’amour que tu m’offrais, par ce que je pourrais t’apporter. Je me suis penchée vers toi, cet être si particulier, certainement parce que j’y ai vu toute ta bonté et ta souffrance cachées. Je me croyais être celle qui aurait pu t’aider, celle qui t’aimerait comme tu étais et non comme je le voulais, ou comme les autres le voulaient. J’ai bravé des tempêtes, celles qui m’ont secouée et fait perdre parfois confiance en moi pour t’accepter Tu n’es peut être pas celui que j’attendais, savais-je réellement ce que je voulais. Je me suis juste laisser emporter par l’amour que tu m’offrais, par ce que je pourrais t’apporter. Je me suis penchée vers toi, cet être si particulier, certainement parce que j’y ai vu toute ta bonté et ta souffrance cachées. Je me croyais être celle qui aurait pu t’aider, celle qui t’aimerait comme tu étais et non comme je le voulais, ou comme les autres le voulaient. J’ai bravé des tempêtes, celles qui m’ont secouée et fait perdre parfois confiance en moi pour t’accepter tel que tu étais. Je pense avoir fait le deuil de choses que tu ne savais pas, pour accueillir une autre façon à toi, même si ce n’est pas toujours simple pour moi. Ne me donne pas l’occasion de ne pas m’attacher à toi sans que tu ne t’en aperçois, et si je suis toujours là, peut être est-ce grâce à l’amour qui me retient tant à toi…
Ne me laisse pas l’idée qu’un jour, je puisse envisager de ne plus t’aimer, ne me laisse pas l’envie de me détourner, ne me laisse pas me décourager, laisse-moi m’attacher, laisse-toi t’abandonner sans crainte ni regret. Laisse-moi te prouver que jamais je ne te lâcherai, pas comme les autres ont fait…

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2016-02-16T14:25:43+01:00
https://journaldunequarantenaire.journalintime.com/Reve Rêve Le corps a une mémoire, chaque parcelle de peau, le moindre recoin a ses propres souvenirs. Une caresse, un frisson crées par le contact d'une autre peau restent ancrées à vie tel un tatouage encré dans la peau. Il arrive, parfois, que ce corps ait un besoin impérieux de se souvenir, de croquer dans le fruit défendu, comme on mord dans la madeleine de Proust. Mon corps s'en souvient, il aimerait tant, parfois, ressentir les sensations intimes d'une peau effleurée, d'un baiser enflammé. Juste histoire, par moment, de se réveiller, de renaître à la vie, d'exister. Je me suis Le corps a une mémoire, chaque parcelle de peau, le moindre recoin a ses propres souvenirs. Une caresse, un frisson crées par le contact d’une autre peau restent ancrées à vie tel un tatouage encré dans la peau. Il arrive, parfois, que ce corps ait un besoin impérieux de se souvenir, de croquer dans le fruit défendu, comme on mord dans la madeleine de Proust.
Mon corps s’en souvient, il aimerait tant, parfois, ressentir les sensations intimes d’une peau effleurée, d’un baiser enflammé. Juste histoire, par moment, de se réveiller, de renaître à la vie, d’exister.

Je me suis réveillée, avec en tête, un rêve que je venais de faire, allongée nue, sur le ventre, sur du gazon, j’attendais que quelqu’un daigne venir me toucher, m’effleurer, me caresser…

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2016-02-16T14:23:00+01:00
https://journaldunequarantenaire.journalintime.com/Une-histoire Une histoire Ceci est leur histoire, celle à laquelle ils ne pensaient pas croire et qui pourtant perdure et semble filer à toute allure. Ceci est leur histoire, celle qui commença un mardi soir par une partie de jambes en l’air où quelques mois plus tard, sans en avoir l’air, des liens plus forts se créèrent. Elle faillit, sur un voyage, mettre à terme à cette relation pour une autre liaison, mais ne put se résigner à laisser tomber celui qui peut être l’aimer. Il lui fallait alors tenter d’aller plus loin, plus loin pour y trouver ce qui était caché. Caché en lui, pour ne pas Ceci est leur histoire, celle à laquelle ils ne pensaient pas croire et qui pourtant perdure et semble filer à toute allure. Ceci est leur histoire, celle qui commença un mardi soir par une partie de jambes en l’air où quelques mois plus tard, sans en avoir l’air, des liens plus forts se créèrent. Elle faillit, sur un voyage, mettre à terme à cette relation pour une autre liaison, mais ne put se résigner à laisser tomber celui qui peut être l’aimer.
Il lui fallait alors tenter d’aller plus loin, plus loin pour y trouver ce qui était caché. Caché en lui, pour ne pas souffrir, et pour y découvrir toute une armure qu’il avait construite. Elle se cogna souvent, puis y trouva des failles et compris alors ce qu’il cachait comme un trésor. Son enfance, sa souffrance, son manque de confiance, tout ce qui l’empêchait de vivre et de s’abandonner pleinement.
Elle fut très vite sous le charme de sa sensibilité, sous le charme de sa tendresse cachée et finit par l’aimer. Elle apprit à le comprendre, à ne pas trop attendre de cet homme qui ne sait donner comme elle le souhaiterait. Par amour pour lui, elle mit de côté une part d’elle-même, des envies, des désirs. Elle savait qu’elle ne pouvait le changer et faire de lui ce qu’elle voulait, elle se résignait mais parfois un espoir persistait. Elle se permettait de croire que peut être un jour…
Dans ces moments, elle se faisait mal, perdait courage, perdait confiance en elle. Dans ces moments là, elle craignait de ne pas y arriver, de ne pas être suffisamment forte pour continuer à accepter. Mais elle continuait, elle continuait à prendre tout ce qu’il savait donner, avec ce qu’il pouvait. Elle continuait à l’aimer comme il était.
Lui, il lui fallait rester dans le contrôle, ne pas trop s’ouvrir pour ne pas lui donner ce qu’elle pourrait, peut être un jour, lui rejetait. Alors l’humour, il utilisait, pour mieux appréhender ses peurs cachées. Mais il l’aimait pour tout ce qu’elle lui offrait, son écoute, son attention, sa compréhension. Il l’aimait pour tout ce qu’on ne lui avait jamais donné. Il continuait mais toujours avec une crainte, celle d’être de nouveau abandonné. Abandonné pour tout ce qu’il ne sait donner et qu’il savait, au fond de lui, qu’elle attendait. Il gardait néanmoins l’espoir, même s’il se disait qu’il ne changerait jamais, même s’il le voudrait. Alors il espère qu’elle saura tenir, qu’elle aura encore et toujours la force de l’aimer.
Ceci est l’histoire de deux personnes qui ont chacun leurs peurs, mais qui gardent l’espoir que leur amour perdura le plus longtemps possible. Elle c’est moi, lui c’est toi, cette histoire c’est la nôtre, ceci est notre amour…

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2016-02-16T14:01:21+01:00